Chaque année, plusieurs régions françaises élisent une candidate qui devra les représenter à la cérémonie emblématique de Miss France. Cette année, la représentante de la Guadeloupe s’est vu éliminée dans la foulée. Mais quelle était la véritable raison de cette élimination soudaine ? Sans plus tarder, allons à la découverte de cette histoire qui a fait couler beaucoup d’encres.
L’une des lois qui sévit beaucoup de jeunes Miss
L’élection d’une Miss France repose sur plusieurs facteurs internes comme externes. En ce qui concerne le plus important, vous en aurez plus d’informations via ce lien. Les Miss doivent obligatoirement incarnées des valeurs de femmes battantes, des valeurs morales, civiles et bien d’autres encore. Mais encore, une réglementation spécifique joue en la défaveur de certaines Miss. C’est le cas de la candidate représentant la Guadeloupe : Anaëlle Guimbi.
En effet, un peu plus tôt, elle avait eu à participer à une campagne pour la lutte contre le cancer du sein. Dans la mêlée, elle a dû faire des photos dénudées à travers lesquelles on pouvait tracer sa silhouette des seins. C’est malheureusement l’événement qui a tout chamboulé dans sa quête pour la couronne de Miss France. Même si les causes qu’elle essayait de défendre étaient nobles, ces photos ne sont pas passées inaperçues chez les organisateurs de l’élection. Mais montrer son corps en body painting devrait-il réellement être discriminatoire à Miss France ?
Pourquoi les organisateurs de Miss France devraient être tolérants ?
Par ailleurs, les candidates ne sont pas évaluées que sur les valeurs morales ou éthiques. Parmi ce grand lot d’éléments, se trouve la beauté physique. Lors des cérémonies électives, on voit clairement les candidates défilées dans des tenues plutôt houleuses. Les maillots de piscine et d’autres petites tenues sont fréquemment aperçues sur ces dames. Vu sous cet angle, on pourrait croire que la candidate Anaëlle ne faisait rien de discriminatoire. Quoiqu’il en soit, la pudeur d’une femme est à préserver coûte que coûte.